Charte
L’association SOS Inceste Pour REVIVRE existe pour dénoncer et prévenir l’inceste et les violences sexuelles sur les mineur·es. En accord avec la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, elle œuvre pour que le droit de l’enfant à l’intégrité de son corps soit respecté.
Les violences sexuelles perpétrées par une personne dont l’enfant est dépendant, ont des conséquences dramatiques sur la santé physique, mentale et sociale de ceux et celles qui les ont subies.
C’est pourquoi l’action de SOS Inceste Pour REVIVRE est fondamentale.
L’association SOS Inceste Pour REVIVRE agit
Au niveau des personnes victimes d’inceste et de violences sexuelles pour
- Affirmer comme urgence première leur protection et leur mise en sécurité ;
- Faciliter et accueillir leur parole ;
- Informer, orienter, accompagner et soutenir leurs choix (procédure judiciaire ou non) tout au long de leur parcours de (re)construction et de résilience ;
- Développer leur accès à des prises en charge actualisées, adaptées et efficaces.
Au niveau des personnes proches de victimes pour
- Accueillir leur parole ;
- Les informer, les orienter et les soutenir, leur fournir un soutien social, informatif.
Au niveau social pour
- Rappeler la loi et veiller à ce qu’elle soit appliquée ;
- Mobiliser l’opinion publique, agir sur l’environnement social afin de prévenir ce qui aujourd’hui perdure malgré l’interdit : la transgression de la loi et la pratique de l’inceste ;
- Augmenter le repérage en mobilisant les adultes au contact des enfants pour faciliter la prise de parole de l’enfant et informer sur les différentes modalités de signalement.
- Mobiliser les pouvoirs publics pour lever le déni social et familial, et tout mécanisme de « silenciation » afin que les victimes s’autorisent à parler et soient crues ;
- Développer des partenariats et le travail en réseau pour une réponse adaptée à chaque situation particulière.
Au niveau de la loi française pour
- Lutter contre l’impunité des auteurs ;
- Lutter pour le retrait automatique de l’autorité parentale de tout parent condamné pour viol incestueux, ou agression incestueuse ;
- Demander une loi qui protège mieux et plus vite l’enfant par la mise en place d’une chaîne de protection efficace ;
- Défendre le parent protecteur et dénoncer l’utilisation encore trop largement répandue du prétendu SAP (Syndrome d’Aliénation Parentale) par les auteurs et les professionnel·les (magistrats, services sociaux).
Au niveau de la recherche et de la réflexion pour
- Contribuer à la prévention de l’inceste et des violences sexuelles en cernant mieux les facteurs de risque et de protection individuels, familiaux, environnementaux sur lesquels on peut agir pour mettre fin à ces pratiques ;
- Permettre à ceux et celles qui ont été victimes ou proches de victimes de devenir actrices et acteurs des changements sociétaux à venir grâce au recueil de leur expérience singulière, au partage de leurs connaissances et à l’entraide mutuelle.
Permanences téléphoniques
Ligne d’écoute : 04 76 47 90 93
Mar 3 et 17 septembre 2024 de 12h30 à 14h30
Groupes de parole de victimes
Un entretien individuel est nécessaire pour participer aux groupes de paroles.
Mar 3 sept. 2024 de 18h35 à 20h35
Mar 24 sept. 2024 de 18h35 à 20h35
Groupe de parole de proches
Un entretien individuel est nécessaire pour participer aux groupes de paroles.
Lun 26 aout 2024 de 20h15 à 22h15
en visio
Ateliers yoga
Pour s’inscrire, merci de joindre l’intervenante au 06 79 42 08 94
Pause estivale
Ateliers théâtre
Un entretien individuel est nécessaire pour participer.
Pause estivale
Permanences bibliothèque
Mardi 3 septembre de 16h30 à 18h30
Mardi 24 septembre de 16h00 à 17h30